Image: Midjourney, Text: ChatGPT, Idea & Master of Prompts: Me
Il était une fois à Lausanne, où la lumière tombait désormais en cascade rose, les habitants célébraient l’achèvement d’une merveille architecturale. “L’œuvre qui illumine nos jours gris!”, disaient-ils en riant sous un ciel tumultueux qui, paradoxalement, ne semblait jamais aussi menaçant que lorsqu’il embrassait le spectacle en dessous. C’était la fin, ou plutôt le début, de l’histoire de la Fontaine Rose de Lausanne.
Mais comment tout cela a-t-il commencé? C’était une idée née lors d’une réunion de la municipalité qui voulait “quelque chose d’audacieux, d’unique!” Le maire, en plaisantant, avait lancé : “Et pourquoi pas une fontaine qui coule en rose?” Le silence avait suivi, chacun évaluant si c’était une plaisanterie ou un véritable éclair de génie. Finalement, c’est l’ironie qui avait séduit; le rose serait le symbole de Lausanne, une ville audacieuse, même dans ses infrastructures.
Le projet fut confié à une célèbre architecte, Marie-Louise Éclat, connue pour ses conceptions qui défient la gravité et les conventions. Marie-Louise avait souri en acceptant le défi. “Faisons en sorte que les gens se demandent si c’est le ciel qui est devenu fou ou si c’est nous,” avait-elle déclaré.
Pour intégrer cette extravagance, elle avait opté pour des panneaux de béton simples qui canalisaient l’eau en cascades artificielles. Mais c’était la nuit que la magie opérait vraiment. Des lumières LED intégrées illuminaient l’eau d’une teinte rose vif, une vue qui pouvait convertir le plus cynique des spectateurs en un enfant émerveillé.
Au fil des mois, alors que l’installation prenait forme, des sceptiques murmuraient dans les cafés et sur les réseaux sociaux, raillant l’idée. “Une fontaine rose? Quelle prochaine, des lampadaires qui jouent de la musique?” ironisaient-ils. Mais dès son inauguration, l’œuvre captura les cœurs.
Les enfants y jetaient des pièces en faisant des vœux, les amoureux s’y donnaient rendez-vous, et même les vieux grincheux devaient admettre que, parfois, l’absurdité avait sa place dans le pragmatisme de l’urbanisme.
Et voilà, la Fontaine Rose n’était pas seulement une installation; c’était un nouveau cœur battant pour Lausanne, pulvérisant de l’eau rose sous un ciel souvent sombre, rappelant à tous que la vie, tout comme l’art, est meilleure avec une touche d’irrévérence et de couleur.